Annexe 2 : Les fondements de la cure | |
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Cette étude montre l'importance des perturbations oligo-élémentaires rencontrées et surtout la fréquence de la présence d'anomalies élémentaires multiples chez un même sujet. Elle a mis en évidence de nombreuses interactions inter-élémentaires (antagonismes) ou des modifications participatives, c'est à dire que la modification d'un élément s'accompagne de celle de plusieurs autres, dans le même sens. Enfin, elle a mis en évidence le manque de régulation du cuivre et montré que cet élément devait être manié avec de grandes précautions, en raison des nombreux antagonismes qui lui sont associés. |
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Des
contrôles analytiques aux temps suivants ont été effectués
après : >
Résultats de la première semaine > Après 15 jours
>
Après 1 mois >
Après 2 mois Nous pouvons donc en
conclure : Les sujets volontaires tenaient au jour le jour un journal de leurs
impressions personnelles. Les remarques les plus fréquentes
étaient les suivantes : Ces remarques nous semblaient d'autant plus intéessantes qu'elles étaient spontanées (il n'y a pas eu de questionnaire). Le seul point négatif était le mauvais goût dû à la présence de cuivre dans la solution multiélémentaire que nous proposions. Sur le vu des résultats du document 2, nous avons procédé, avec la collaboration de 12 médecins, à une enquête rétroactive sur 600 sujets dont nous possédions, àla fois un dossier clinique avant la cure et la notion d'un suivi de traitement. Nous avons interrogésur les effets de la cure les médecins
et les patients. Nous avons retrouvé auprès des patients
des résultats comparables à ceux du document 2 et chez
les médecins, des améliorations cliniques nettes dans
les pathologies suivantes : |
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Le Rubidium est naturellement toujours associé au Potassium. Il n'existe pas, dans la nature, de minéral spécifique de rubidium. Le rubidium appartient à la même famille chimique que le lithium, le sodium, le potassium et le cesium. Il a été étudié comme ion actif sur le système nerveux central (comme équivalent du lithium, qui a un rôle anti-maniaco-dépresseur, alors que le rubidium n'a qu un rôle anti-dépresseur), et utilisé comme analogue du potassium dans les phénomènes de transport transmembranaire (pompe - Na+ - K+), car il possède un rayon ionique équivalent à celui du potassium et que son isotope 86Rb peut servir de sonde à potassium. Il semble que ce protocole ait conduit à attribuer au potassium des propriétés qui seraient en fait spécifiques du rubidium. Notre expérience
personnelle nous a montré : La littérature fournit de très nombreux exemples de différences de comportement entre rubidium et potassium suggérant que cet élément possède des voies métaboliques propres. L'ensemble de ces constatations nous permet d'affirmer le rôle essentiel du rubidium. Nous rejoingnons en cela de nombreux autres auteurs. Le rubidium est impliqué essentiellement dans les pathologies d'origine neuro-psychiques et dans les pathologies musculaires, ce qui confirme encore son implication au niveau de la neuro-transmission ou son action sur la plaque neuro-motrice. Remarques : Nous n'avons pas pu étendre les investigations dans les documents 2, 3 et 4 à l'ensemble de notre banque de données pour des raisons informatiques ou en raison de l'ampleur du travail que cela représente. Nous avons cependant suivi le plus souvent possible l'ensemble de nos patients et les renseignements obtenus confirment les résultats des enquêtes objectives menées. > Sommaire |